To whom it may concern

Posted on March 1, 2011 by admin

To whom it may concern.
Je coule. Et j’ai beau tenter de remonter à la surface je n’y arrive pas. Il est 22h. Je rentre du travail. Je pleure sous la douche. Au moins mes larmes se fondent dans la masse. La pression du moment a eu raison de mes épaules et ça y’est, je suis à terre. Pour le plus grand plaisir de certains. A la grande surprise d’autres. Qui eu cru que derrière ce sourire pouvait se cacher des yeux vides. Qui eu cru que dans ce cœur pouvait vivre une part inerte. Pas moi. Je me croyais forte. Quelle utopiste. Tout s’écroule. Pourtant ma mère va mieux. C’est à n’y rien comprendre. Ce que j’ai mis si longtemps à bâtir et sur lequel je m’appuie ne tient plus. Ils doutent de moi. Et leurs doutes m’importent, malheureusement. Parce qu’il n’est pas juste. Parce qu’il veut dire menteuse. Il me rend faible. Il me rend triste. Fucking doute. Et New York, ma ville préférée, est le pire des décors pour douter. Douter ici, c’est synonyme de fin. Personne ne peut  ressentir cet essoufflement, abrutissant, quasi déshumanisant à moins d’avoir vécu à New York. Pas de place pour les faibles. Seul les monstres restent. Et je ne suis pas assez monstrueuse je pense. Mais je ne suis pas qu’un chiffre ou un trophée.  Et oui, je suis humaine. Et quand New York te tourne le dos tu n’as pas d’autre choix que de te sentir étranger. A 22h ici, il est 4h là-bas. Le nombre de personne à qui parler se compte sur le revers de ma main. J’ai mal et j’ai personne à qui le dire. Alors je l’écris à qui voudra bien le lire. Ce lieu est désert. J’ai pas de famille pour me rassurer. Pas de repères molletonnés. Même pas de collègues à qui faire un clin d’œil. L’instabilité me fait peur. Le flou m’obsède. Je veux que tout revienne en ordre. Pour avoir encore le temps d’en profiter, un peu. Pour être prête à couper le cordon, un peu. Parce que c’est trop tôt, un peu. Mais qu’est-ce que c’est cet article de loose intersidérale ? A New York tout est décuplé. Alors quand tu souffres, c’est puissance lourd. Mais comme dit La Haine, l’important c’est pas la chute, c’est l’atterrissage. Heureusement j’ai la tête dure. Et des grosses fesses. Ça amortira.

 


The Travelin’ Girl

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